Malgré un soutien renouvelé au peuple biélorusse, les ministres des Affaires étrangères ont été incapables, lundi 21 septembre, d'adopter des sanctions à l’encontre des responsables de la fraude électorale, de la répression et des violences en Biélorussie, en raison de l'opposition de Chypre.
« Bien qu’il y ait une volonté manifeste » d’adopter des mesures, « cela n’a pas été possible, car l’unanimité nécessaire n’a pas été atteinte », a expliqué le Haut...