La nouvelle Commission européenne voulait développer une approche holistique du phénomène de l’économie circulaire, mais elle était nécessairement conduite à une certaine segmentation de ses projets. Sa force fut de décider d’opérer sans complexe par des actes contraignants, y compris dans des domaines qui n’avaient pas encore été couverts, et de proposer, chaque fois que possible, des règlements plutôt que des directives, lesquelles ne sont pas directement...