Il est lassant d’avoir sans cesse à se demander si les princes qui dirigent l’Europe, c’est-à-dire les chefs d’État ou de gouvernement et tous leurs commensaux ministériels, ne font pas inlassablement le lit des populistes et autres extrémistes. Cette fois, c’est l’Italie qui y oblige (EUROPE 11974).
Qu’on se comprenne bien : l’Italie a une classe politique qui n’a de leçon à recevoir de personne en matière de gouvernance instable et bancale. Que, là comme...