Mario Monti avait raison. Qui se rappelle encore, aujourd'hui, les furieuses polémiques qui avaient accompagné il y a une année l'approbation du nouveau régime européen de la distribution des voitures automobiles? À entendre certains constructeurs ou concessionnaires, les répercussions auraient dû être désastreuses pour l'industrie et pour le commerce. La première partie de la réforme est entrée en vigueur, et personne ne parle plus de révolution mais d'une transformation en...