Face aux députés européens qui critiquaient vivement la réticence des États membres à agir résolument contre l’optimisation fiscale, mardi 14 novembre, lors d’un débat en session plénière sur le scandale Paradise Papers, le commissaire européen à la Fiscalité, Pierre Moscovici, a ouvert « deux pistes pour l’avenir ». D’une part, il faut « aider les États européens et les autres, qui ont fait un peu de l’évasion un business d’État, à développer un autre...