Le gouvernement polonais se mobilise, avec une armada d’arguments essentiellement politiques, ainsi qu’une campagne médiatique, à la veille du vote sur le choix du président du Conseil européen, pour saborder ce qui était une évidence pour la plupart des États membres : confier à Donald Tusk un second mandat.
L’offensive diplomatique, lancée soudainement par la Pologne samedi 4 mars (EUROPE 11739), s’est encore accentuée mercredi 8 mars, à 24 heures du sommet à Bruxelles,...