Maintenant, Valéry Giscard d'Estaing a véritablement accompli son retour à la politique active. Il a essuyé les premières critiques de la presse, il a été accusé d'être arrogant et autoritaire, il a fait connaissance avec les indiscrétions malicieuses et les insinuations désagréables. C'est normal; tout homme politique doit l'accepter, et le président de la Convention n'est pas une icône à vénérer mais une personnalité engagée dans une tâche difficile et controversée....