Pour continuer à mener son « opération militaire spéciale » en Ukraine, le dictateur sans scrupules peut compter sur ses généraux (jusqu’à quand ?), son armée (qui aurait perdu 90 000 hommes, morts ou invalides) renforcée par des recrutements contraints (jeunes n’ayant pas fui à temps, ouvriers, détenus, SDF, cancéreux, déséquilibrés, etc.) et par les mercenaires du groupe Wagner, sorte de SS du régime. Dans la sphère civile, il peut encore compter sur les oligarques...