Cher lecteur, ce Repères avait été écrit avant la nomination d'hier soir de M. Conte à la tête du gouvernement italien. Il est la suite du Repères précédent.
Parce qu'ils restent obstinément enfermés dans leur citadelle nationale, les démocrates d'Europe perdent pied et courent à leur perte. Rien de ce qui se passe d'affligeant en Italie pour l'instant ne peut être compris à sa pleine mesure sans intégrer le déni de démocratie européenne qui en est la cause.
En prendre...