Frans Timmermans est sur le point de subir un affront. Pas n’importe lequel : un affront étatique. Le premier vice-président de la Commission européenne risque d’être très bientôt désavoué par les chefs d’État et de gouvernement des pays de l’Union. Quelle faute le travailliste néerlandais a-t-il donc commise qui puisse justifier un désaveu venant carrément de l’Olympe des temps modernes ? Aurait-il, par exemple, vilipendé les ressortissants et dirigeants d’une...