Faut-il renoncer au référendum, au motif que le thème est porté par les adversaires de l’Union et les populistes de droite ? Ou bien, au contraire, les familles politiques démocratiques traditionnelles ne devraient-elles pas s’emparer aussi de cette procédure et la programmer, plutôt que d’en laisser le monopole rhétorique aux ennemis de la société ouverte ?
C’est la seconde option qui est la bonne, du seul fait que l’ère numérique contient la démocratie directe...