20/12/2001 (Agence Europe) - Interrogée jeudi par la presse sur le dossier Galileo, la vice-présidente de la Commission chargée des transports et de l'énergie, Loyola de Palacio, a estimé que "les choses sont cristallines. Le projet Galileo ne se heurte pas à des difficultés économiques (...). Sa rentabilité est prouvée et ses coûts ne sont pas faramineux. Les difficultés sont d'ordre politique. La question est de savoir si l'Union veut ou non son propre système de navigation...