Bruxelles, 02/03/2015 (Agence Europe) - La Commission européenne a adopté un ton rassembleur, lundi 2 mars, malgré la demande du Portugal et de l'Espagne d'un commentaire de sa part sur les accusations proférées pendant le week-end à leur encontre par le Premier ministre grec, Alexis Tsipras.
Ce dernier a accusé, devant le comité central de Syriza, ces deux pays d'avoir, « pour des raisons politiques évidentes, cherché à faire dérailler la négociation » au sein de...