Les États membres se divisent encore sur la nécessité de fixer annuellement des objectifs chiffrés de relocalisation de demandeurs d'asile (y compris de migrants devant être renvoyés dans leur pays) et de soutien financier, selon une note de la Présidence suédoise du Conseil de l'UE du 21 mars évoquant les derniers compromis sur le règlement sur la gestion de l'asile et de la migration (AMMR, ex-Dublin) (EUROPE B13128A10, B13147A10). Ils n'ont pas non plus encore la même vision...