Nouveau rebondissement dans les discussions ministérielles, mardi 6 novembre, sur la proposition visant à taxer à hauteur de 3 % les revenus bruts des activités des plates-formes numériques (‘digital services tax’ ou DST) : la France a fait une nouvelle concession pour tenter de sauver l’initiative législative, tandis que l’Allemagne a fait un pas dans le camp des réfractaires.
La Présidence autrichienne du Conseil de l’UE avait structuré la discussion en deux...