Philippe Busquin en première ligne. Aussi bien au sein du Parlement européen que de la Commission, il existe une tendance à considérer que le compromis Juncker sur les perspectives financières 2007-2013 était tellement ravageur pour le secteur de la recherche qu'en définitive son rejet a été positif. En d'autres mots: l'échec du Sommet de la semaine dernière était préférable à un résultat qui aurait compromis l'engagement de l'Union dans les activités d'avenir, et Tony Blair...