Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a posé un ultimatum, mercredi 3 avril, aux autorités britanniques : le Royaume-Uni devra s’être « prononcé » au plus tard le 12 avril – « la date ultime » – en faveur de l’accord sur un Brexit ordonné pour que l'Union européenne accepte « une prolongation [des délais de l’article 50] jusqu’au 22 mai ».
Sinon, « aucune prolongation de courte durée ne sera possible », a-t-il dit...