Cette fois, le séisme menace d’être d’une amplitude maximale. Son épicentre se trouve, bien sûr, en Italie, du côté du Quirinal à Rome où un homme sage, le président Mattarella, s’emploie tant que faire se peut à limiter les dégâts qui découleront d’un gouvernement né du mariage du nationalisme et du populisme. Même à l’ombre portée du Vatican, il ne pourra toutefois pas faire de miracle, tant il est vrai que les urnes ont parlé le 4 mars dernier.
Le séisme...