L’Agence européenne de surveillance des véhicules‘ (AESV) n’aura finalement pas reçu les faveurs du Parlement européen, lors de deux votes cruciaux en session plénière à Strasbourg, mardi 4 avril.
Que ce soit dans les recommandations de la commission d’enquête EMIS sur le scandale des logiciels truqueurs ou pour le règlement sur la réception et la surveillance du marché des véhicules à moteur (adopté à une très large majorité avec 585 voix pour, 77 contre, 19...