Un armistice éventuel entre les dirigeants de Mittal Steel et d'Arcelor n'éliminerait pas la nécessité de clarifier les règles européennes sur la gouvernance des entreprises et sur la mondialisation dans le domaine financier, boursier et industriel (voir cette rubrique d'hier). Pour qui s'intéresse en particulier à l'affaire Mittal/Arcelor, voici, de façon schématique, l'évolution intervenue. Les responsables de Mittal Steel (société qui appartient à 80% aux membres de la...