Les références aux effets bénéfiques généraux, non spécifiques, d’un nutriment ou d’une denrée alimentaire sur l’état de santé général et le bien-être lié à la santé doivent être justifiées par des preuves scientifiques, a estimé la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) dans un arrêt rendu jeudi 30 janvier (affaire C-524/18).
La société Willmar Schwabe demandait qu’il soit interdit à la société Queisser Pharma, sous astreinte, de promouvoir ou...