Selon l'économiste hétérodoxe James K. Galbraith, « la politique des créanciers » qui n'en finit plus de frapper les pays les moins solides de la zone euro et, plus généralement encore, les citoyens européens les plus fragiles n'est rien d'autre qu'une « politique des huissiers » (voir Les Inrocks du 29 mai). Le propos prêterait presque à sourire si, dans son dernier ouvrage (« Et les faibles subissent ce qu'ils doivent ? »: voir la Bibliothèque européenne n° 1139 du 18...