Il a été avancé, dans le Repères du 19 octobre dernier, qu’il fallait en finir avec la rengaine éculée voulant que l’Union européenne et ses institutions n’interfèrent pas dans les ‘affaires intérieures’ d’un État membre (EUROPE 11886). Les semaines qui ont suivi l’ont, hélas, amplement confirmé. En réalité, tout se conjugue de plus en plus pour que cette crise hispanique soit appréhendée comme une crise concernant directement l’Union, que celle-ci le veuille...