Se trouvera-t-il un jour un dirigeant européen pour proposer qu’une statue soit érigée à Bruxelles ou à Strasbourg pour saluer l’incomparable apport de Jeroen Dijsselbloem à la construction d’une Europe enfin pleinement démocratique ? Aujourd’hui en sursis à son ministère néerlandais des Finances, il le mériterait sans conteste. En l’espace d’une semaine, il vient de tenir des propos déplacés à propos des Grecs et autres « cigales » méditerranéennes avant...