Le président Juncker a-t-il saisi le sens exact du reproche constructif qui lui était adressé dans le précédent Repèresdu 14 octobre dernier (EUROPE 11645) ? Il tient à cette évidence : le temps n’est plus aux atermoiements, il n’est plus aux demi-mesures. S’en satisfaire reviendrait à condamner le projet de construction européenne à une mort inéluctable, inévitable. Pourquoi ? Parce que chaque journée perdue revient à persuader un peu plus les citoyens européens que...