Jusqu’au « jour d’avant », les Européens n’y croyaient pas. Puis, l’agression militaire arriva, de plusieurs côtés, par le bas et par le haut. Mais très vite, il fallut constater qu’il ne s’agirait pas que d’un affrontement entre soldats. Les bombes larguées sur Kiev, Marioupol ou Kharkiv frappaient indistinctement des civils : aéroports, immeubles d’habitation, hôpitaux. Rien que pour le 24 février 2022, l’ONU dénombra 25 morts et plus de 100 blessés...