Précieux et corrects, mais… Les textes de la Commission dans l'affaire turque sont en eux-mêmes à la fois précieux et corrects. Précieux parce qu'ils sont le fruit d'analyses approfondies qu'aucun autre organisme européen ou mondial n'était en mesure d'effectuer, corrects car ils répondent à la question posée par le Conseil européen portant sur le respect des critères de Copenhague par la Turquie. La Commission laisse la porte ouverte à toutes les issues, en précisant que...