La Pologne, l’OTAN, l’Union européenne et le G7 ont joué la carte de l’apaisement, mercredi 16 novembre, après la chute d'un missile de fabrication russe sur le territoire polonais, à quelques kilomètres de la frontière ukrainienne, tuant deux personnes.
Tout en précisant qu’une enquête était en cours et qu’il fallait attendre ses résultats, le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a expliqué que «rien n'indiquait qu'il s'agisse d'une attaque...