Le président de la Commission européenne avait averti, voici quelques semaines, qu'un « non » des Néerlandais lors du référendum organisé aux Pays-Bas soi-disant à propos de l'Accord d'association conclu avec l'Ukraine ouvrirait « la porte à une crise continentale majeure». L'affaire est évidemment embêtante, mais Jean-Claude Juncker - qui s'est depuis seulement déclaré « triste» du résultat - s'était en l'occurrence laissé aller à une formule qui dépassait...