Un bon point pour la Présidence belge du Conseil, qui frappe désormais à la porte. La manière dont Guy Verhofstadt a récupéré, mutatis mutandis, l'idée des "sages" qui contribueraient à la réflexion sur l'Europe de demain et à la préparation de la "déclaration de Laeken" est excellente. Le Conseil européen comme ensemble ne veut pas de sages, ou plutôt, certains de ses membres n'en veulent pas. On les comprend, car les sages pourraient difficilement partager un projet...