Entre méfiance et compréhension. La décision du Premier ministre italien de désigner Giancarlo Fini son représentant au sein de la Convention sur l'avenir de l'Europe a été diversement commentée. Pour les uns, il est positif que le gouvernement de l'un des pays fondateurs de l'Union ait confié cette tâche au vice-premier ministre, signe de l'importance attribuée à la Convention, et que le président d'un mouvement politique, dont l'origine était néo-fasciste (Alleanza...