Le fait d’attribuer un supplément salarial à une personne travaillant un jour reconnu comme férié par le droit national, en raison de sa confession, est une discrimination « non justifiée », a estimé l’avocat général de la Cour de justice de l’UE, Michal Bobek, dans des conclusions rendues mercredi 25 juillet sur l’affaire Cresco Investigation (affaire C-193/17).
En Autriche, le Vendredi saint est considéré comme un jour férié par le droit national pour...