Les autorités hongroises n’avaient pas le droit de ne pas prendre de décision sur un mandat d’arrêt européen délivré par les autorités croates à l’encontre d’un ressortissant hongrois ayant eu des activités illégales en Croatie, au motif que la procédure pénale en Hongrie était éteinte au moment de l'émission de ce mandat d’arrêt. Les mêmes autorités ne pouvaient pas non plus refuser de prendre une décision ou d’exécuter le mandat d’arrêt alors que le...