Un demandeur de protection internationale invoquant un risque de persécution pour des motifs religieux ne doit pas nécessairement faire état de l’accomplissement en public d’actes liés à ses croyances ni démontrer par des preuves écrites la matérialité de ses allégations, a estimé l’avocat général Paolo Mengozzi dans ses conclusions rendues mercredi 25 juillet (affaire C-56/17).
En l'espèce, Bahtiyar Fathi, ressortissant iranien d’origine kurde, a introduit en 2016...