L'échange de propos entre Barack Obama et Nicolas Sarkozy au sujet de l'adhésion de la Turquie à l'UE n'a pas apporté d'éléments vraiment nouveaux (voir cette rubrique d'hier). Dans les réactions qui ont suivi, la réaffirmation d'arguments connus reflétait les choix politiques préexistants. Chaque position tend à négliger les aspects du dossier qui l'infirment ou la gênent. J'estime qu'une évaluation globale objective devrait tenir compte notamment des éléments suivants:
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