L'opérateur japonais KDDI (chiffre d'affaires annuel supérieur à 2.500 mrds de yens) étudie la possibilité d'ouvrir son capital à un opérateur étranger. Le nouvel actionnaire ne pourra cependant pas acquérir plus de 13,3% du capital et il lui en coûtera « plusieurs milliards d'euros ».