La Commission Juncker marche sur des œufs pour répondre à ses engagements de 2017 sur les perturbateurs endocriniens. Après les obstacles rencontrés sur la définition des critères, elle s’est limitée, mercredi 7 novembre, à lancer un examen de la législation actuelle permettant de juger de la pertinence d’un cadre commun.
La communication, de 12 pages seulement, répond à l’engagement pris en 2017 d’œuvrer à l’élaboration d’une nouvelle stratégie visant...