Le compromis dégoté à la fine pointe de l’aube par le Conseil européen vendredi dernier laisse un goût amer dans la bouche des Européens (EUROPE 12051, 12052).
De tous les Européens.
Il est considéré insuffisant par ceux qui, à l’instar du ministre allemand de l’Intérieur et président de la CSU bavaroise, Horst Seehofer, jugent que les migrants cachés sous la dénomination de ‘réfugiés’ pourront continuer à s’incruster dans des pays qui n’ont pas vocation à...