S’agissant des nouvelles ressources propres, la Commission se faisait fort d’engranger 22 milliards d’euros recueillis à partir de l’assiette commune consolidée sur l’impôt des sociétés (législation encore à adopter), des échanges de quotas d’émission de CO2, ainsi que du volume des déchets d’emballages en plastique non recyclés. Les autres sources évoquées dans le document de 2017 ont disparu. Aujourd’hui, seul le plastique a survécu dans le dernier document de...