C’est ce qu’on appelle la loi des séries. Et celle-ci, comme souvent celles offertes à la télévision, est de qualité douteuse. Insupportable même. Chaque nouvel épisode nourrit un peu plus la suspicion que le citoyen européen est en droit de ressentir par rapport à la Commission européenne, à l’Europe et, en définitive, à la politique. D’abord, il y a eu la découverte du pantouflage de l’ancien président Barroso – celui qui eut le tout premier à essuyer les...