Luxembourg, 08/10/2002 (Agence Europe) - Menacer la Suisse de sanctions pour faire progresser les négociations sur la fiscalité de l'épargne, serait "difficilement acceptable" alors que "l'opinion s'est durcie en Suisse ", a constaté mardi le Président de la Confédération helvétique, Kaspar Villiger, à l'issue d'un déjeuner mardi à Luxembourg des ministres des Finances de l'UE et de l'AELE. "On ne se menace pas entre amis", a-t-il averti. Le Luxembourg et l'Autriche ont abondé...