Ce ne sont plus seulement quelques États membres qui remettent en cause l'accord provisoire sur la directive instaurant un devoir de vigilance des entreprises, mais aussi les députés européens des groupes PPE, CRE et ID. Lors d'un débat, mardi 12 mars à Strasbourg, les élus de ces trois groupes ont repris tour à tour les arguments contre la directive, à savoir les obligations de 'reporting' trop lourdes pour les entreprises, mais aussi la philosophie du texte, qui veut « punir »,...