Le groupe d’enquêtes du PE sur l’agence Frontex n’a pas trouvé de preuves concluantes selon lesquelles l’agence aurait pris part directement à des actes de refoulements de migrants ou de violations de leurs droits aux frontières extérieures.
Mais l'Agence aurait dû accorder plus d’importance aux allégations portées contre les garde-frontières des pays hôtes, comme les gardes grecs, et suivre de plus près les plaintes ou inquiétudes qui lui ont été rapportées.