Il est des anecdotes qui en disent plus long que certains essais ou thèses de doctorat. C’est le cas de celle-ci. Dans la dernière ligne droite de la campagne pour le premier tour de l’élection présidentielle française, l’Américain Joseph Stiglitz s’est vu contraint d’inviter, via Twitter, la candidate du Front national à cesser de laisser croire qu’il partageait ses idées politiques, économiques et monétaires, ponctuant sa mise au point par un rappel à la tonalité...