Strasbourg, 03/10/2000 (Agence Europe) - Le débat que le Parlement européen a eu ce mardi en prévision du Conseil européen de Biarritz a offert l'occasion à la Présidence française de réaffirmer qu'elle préférerait « assumer » un échec à Nice plutôt que d'accepter un mauvais accord sur la réforme institutionnelle de l'UE, et aussi d'esquisser des perspectives d'avenir, à partir de la proclamation de la Charte des droits fondamentaux. Pour le président de la Commission...