Ce qui est souhaitable n'est pas toujours possible. L'affirmation des droits de l'Homme, le respect du droit d'asile et les problèmes de l'immigration représentent des domaines dans lesquels un certain degré d'insatisfaction et d'indignation est normal, je dirais presque qu'il est obligatoire. Les personnes et les organismes qui en assument la tâche ne s'en privent pas. C'est très bien ; les lacunes doivent être dénoncées.
Mais il faut aussi comprendre que ce qui est souhaitable...