Résultat logique. Le Sommet UE-Russie de vendredi dernier s'est conclu de la seule manière raisonnable entre deux interlocuteurs qui savent que l'exigence de coopérer est incomparablement plus forte que les divergences (d'ailleurs inévitables dans une relation si complexe). Chaque partie garde ses positions sur les points de désaccord, que ce soit l'intégrité territoriale de la Géorgie ou certains aspects de la coopération énergétique, mais la reprise immédiate des négociations...