01/04/2003 (Agence Europe) - Le ministre grec de l'ordre public, Michalis Chrysoidis, s'est fait l'avocat de son pays, de l'Italie et de l'Espagne en déclarant à Veria que l'UE doit « aider les pays sur lesquels s'exercent les plus fortes pressions migratoires, parce qu'ils gardent les frontières pour toute l'Union européenne ». Ces trois pays sont partisans de la création d'un fonds européen pour mutualiser les coûts de la protection des frontières.