La collision entre un avion et un oiseau constitue effectivement une « circonstance extraordinaire » qui peut exempter une compagnie aérienne d’indemniser les passagers lorsqu’un vol subit un retard important dû notamment à des contrôles ultérieurs visant à vérifier l’état technique de l’avion. Toutefois, si, après ces contrôles, un expert habilité juge l’avion en état de voler, la compagnie ne peut justifier le retard en invoquant la nécessité d’un second...