La Commission européenne pourrait bien mettre aux voix, le 17 mai, sa proposition sur les perturbateurs endocriniens. Le compromis qui sera présenté aux experts nationaux ce jour-là autorise les perturbateurs par conception, mais abandonne l’idée d’une dérogation pour les substances actives qui présentent un risque négligeable.
Pour rappel, la Commission a proposé, à la mi-2016, de retenir trois critères pour identifier (et, in fine, interdire) les substances chimiques...